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Syreen Forest est consultante indépendante, spécialiste des questions d’égalité des genres et d’évaluation de programmes de développement international mis en œuvre par des organisations internationales. Syreen Forest est aussi spécialiste des dynamiques géopolitiques et de la question des droits humains au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, ayant été chercheuse sur les processus de démocratisation dans la région MENA.
Ces cinq dernières années, elle a travaillé sur les stratégies et les programmes promouvant l’égalité des genres ainsi que leur évaluation au sein de différentes organisations telles que l’UNESCO et ONU Femmes. Elle a par ailleurs contribué, via des travaux de recherche, à un livre intitulé « Tunisia : An Arab Anomaly » (publié par Columbia University Press) sur les processus de démocratisation dans la région MENA suite aux Printemps arabes.
Après une classe préparatoire aux Grandes Ecoles (A/L), Syreen Forest a obtenu un master de sciences politiques de l’Université de Londres (SOAS) et une licence d’Histoire de l’université Paris-Sorbonne.
Titulaire d’un Magistère en sociologie de l’Université de Ain-Shams en Egypte et d’un DEA en Politiques et sociologie en France avec une spécialisation dans les mutations sociales dans la région arabe, Somia Djacta est actuellement responsable de Bureau régional de l’ICESCO auprès de l’UNESCO, de l’Organisation Internationale de la Francophonie et de l’OCDE. Ses travaux actuels portent sur le développement de la coopération avec les partenaires stratégiques pour garantir une approche cohérente de la mise en œuvre des Objectifs de développement durable. Avant de rejoindre l’ICESCO, Somia Djacta a travaillé à l’UNESCO sur des sujets relatifs à la Culture et aux Sciences Sociales. Elle a également travaillé au Bureau du Caire, en Égypte, où elle a contribué à l’élaboration d’une stratégie régionale pour la mobilisation de ressources extrabudgétaires et de partenariats dans la région. Somia est auteure et co-auteure de plusieurs ouvrages thématiques : la Culture au temps du Covid (paru dans ICESCO Agora), la contribution des femmes à la paix et au développement (paru chez United Nations University for Peace). Elle est également co-auteure avec Patrimoine d’Orient dans l’étude régionale sur l’état de la créativité chez les jeunes de la région arabe intitulée : La langue arabe et la créativité, moteurs de la vitalité de la culture dans la région arabe, paru chez UNESCO.
Kamel Sbai est titulaire d’une licence en Commerce International avec une spécialisation en arabe maghrébin de l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales (INALCO). Son parcours académique et professionnel lui a permis de consolider ses compétences dans des domaines clés tels que la finance, le management et la gestion de projet. Actuellement en cours de Master en Management Stratégique à l’Université Paris-Saclay, Kamel occupe également un poste de banquier, où il met en pratique ses connaissances théoriques et son expertise pratique.
Amina Bouguetta est documentaliste, Architecte-Urbaniste de formation et spécialisée en métiers du patrimoine. Elle a travaillé sur des projets de protection, de conservation et de mise en valeur du patrimoine architectural et urbain au sein des services territoriaux de la ville de Marseille.Elle a collaboré avec des architectes du patrimoine pour la rédaction des études préalables dans le cadre de projets et chantiers de rénovation et/ou de reconversion de monuments historiques. Elle s’est par la suite intéressée au patrimoine écrit. Elle a travaillé dans différents centres de documentation à Aix-Marseille Université et au CNRS. Elle a occupé entre autres le poste d’ingénieur d’étude chargée des collections en langue arabe à l’Iremam.
Noémie a étudié le Droit et l’Histoire de l’art à l’université Sorbonne, où elle s’est spécialisée dans les relations entre l’Europe et le Moyen-Orient. Egalement diplômée en
Management et Marché de l’Art, elle a vécu et travaillé à Londres, où elle a développé un intérêt pour le trafic illicite et la spoliation des biens culturels, en particulier dans cette région.
Souhaitant œuvrer pour la protection et la promotion du Patrimoine d’Orient et de Méditerranée, et après de nombreuses années d’expérience en bénévolat, Noémie a rejoint l’ONG afin de rendre plus accessible les richesses qui définissent ce patrimoine.
Professionnelle du marché de l’art, Noémie est également membre de la Global Youth Community de l’UNESCO.
Cyrinne Oumaziz est étudiante en troisième année de licence Science Politique et d’anglais à l’Université de Lille. Passionnée par les langues, l’histoire et les voyages, elle complète le dernier semestre de sa licence à l’Université Pablo de Olavide de Séville, en Espagne. Au cours de ses études, Cyrinne Oumaziz s’est spécialisée sur les enjeux liés au patrimoine de la région MENA et Méditerranée. Nourrie d’un fort intérêt pour le patrimoine de la région arabe et berbère (Amazigh), elle s’est engagée au sein de l’Observatoire Patrimoine d’Orient et de Méditerranée dans l’objectif de rendre visible le riche patrimoine de ces régions.
Linguiste de formation spécialisée en arabe et hébreu, Marwa Mourad Houssein est diplômée de l’INALCO en Langues, littératures et civilisations étrangères et régionales au sein des départements arabe littéral et études hébraïques et juives, à Paris. Elle détient également un double master : un master de recherche en sciences du langage (INALCO) et un MBA en communication & marketing (ISCOD).
Ses recherches se sont principalement axées sur l’analyse sociolinguistique des discours politiques dans la péninsule arabique ainsi que sur les relations israélo-arabes. Après avoir travaillé en tant que chargée de communication pour l’organisation internationale Greenpeace, elle s’est formée en relations internationales auprès du CNAM, à Paris. Actuellement, en parallèle de ses recherches centrées sur la transmission du patrimoine yéménite, Marwa se lance dans le conseil sur les sujets liés à la linguistique, à la culture et à la communication d’influence et politique.
Romane Guyon est chargée de communication institutionnelle médias au sein de l’OPOM. Elle est étudiante en double-master International Governance and Diplomacy à Sciences Po à Paris et Economics and Management of Government and International Organizations à l’Università Bocconi à Milan. Elle suit, en parallèle de ce cursus, un master en Histoire de l’Art à l’Université Paris Nanterre. Son parcours académique lui permet de se concentrer particulièrement sur les enjeux liés à la diplomatie culturelle et patrimoniale, tandis que ses travaux l’aident à penser la question de la mobilité forcée des œuvres d’art, qu’elle aborde d’un point de vue historique à Nanterre, et contemporain à Milan : elle est ainsi spécialisée sur la question des translocations et restitutions liées aux campagnes militaires révolutionnaires et napoléoniennes, et travaille actuellement sur la lutte contre le trafic illicite de biens culturels.
Architecte, diplômée de l’Ensa-Versailles et d’un master en management de l’ESSEC Business School, Michèle s’est passionnée pour les domaines de l’artisanat, le design, l’architecture, particulièrement les lieux historiques et leur valorisation ainsi que l’entrepreneuriat. Étant franco-libanaise, elle a nourri un intérêt fort pour le patrimoine de la région arabe, souvent menacé. Cela l’a mené notamment dans son cursus à s’intéresser au patrimoine architectural méditerranéen en Sicile et au Liban, et à la manière dont il est possible de reconvertir des espaces historiques abandonnés. Son projet de fin d’études a porté sur la reconversion des ruines romaines et ottomanes de la Place des Martyrs à Beyrouth en espace publique après avoir rencontré des architectes et des habitants de Beyrouth et des villages libanais afin de découvrir l’héritage architectural du pays : maisons traditionnelles et ruines antiques.
Aujourd’hui, elle travaille en tant que Manager de projets et développement dans l’industrie des métiers d’art et des savoir-faire et de l’aménagement d’intérieur aux côtés d’architectes, designers et artisans à Rabat au Maroc pour des projets en Afrique et au Moyen-Orient. Elle s’investit en parallèle aujourd’hui au sein de l’OPOM en tant que chargée de communication institutionnelle où elle a pour mission d’accroître la notoriété le l’OPOM via des stratégies de communications et de partenariats aux côtés des autres membres du pôles stratégie & communication.
Franco-palestinienne et actuellement étudiante à l’Ecole du Louvre, Carmen Folleas est spécialisée en Art du XXe siècle. Elle a pour projet futur de faire rayonner l’art moderne et contemporain palestinien, en l’inscrivant dans une démarche accessible et unificatrice.
Concepteur multimédia et artiste, titulaire d’une licence en architecture d’intérieur et en design de l’université Notre-Dame de Louaize, Rawi Saad est né et a grandi au Liban. Profondément influencé par son héritage culturel, qui lui a transmis une passion pour l’art, l’architecture et le design, ce mélange d’influences l’a amené à rejoindre OPOM en tant que graphiste au sein de l’équipe 2024. Il a à cœur de raviver et d’améliorer l’identité de marque de l’OPOM pour sa mission 2024 grâce à son talent et à son expertise.
Historienne de l’art et photographe, Nadia Vuilleumier a d’abord complété un Bachelor en littérature française et un Master en histoire de l’art à Neuchâtel en Suisse et à la Sorbonne. Après plusieurs voyages en Iran, fascinée par le monde persan, elle s’est installée à Kerman dans le sud de l’Iran en 2013. Elle y a appris le persan puis a suivi la formation officielle de guide touristique culturelle. Spécialisée en archéologie, art persans et en art dit islamique, elle est devenue l’une des premières guides locales d’origine non iranienne. Passionnée par ce pays complexe, elle a cherché à faire comprendre l’Iran d’aujourd’hui par le biais de son histoire et de son patrimoine culturel. Après la pandémie, elle est revenue en Suisse et elle a commencé le Master Moyen-Orient au Global Studies Institute à l’Université de Genève.
Elle a intégré l’équipe de l’OPOM en tant que responsable de la communication sur Instagram et rédactrice. Sa mission continue donc : au-delà des clichés et de l’actualité, faire connaître et comprendre cette région si riche avec laquelle nous sommes étroitement connectés.
Freelance en Communication et gestion de projets dans le domaine des droits humains, Thalia Rahme est titulaire d’une licence en sociologie et anthropologie urbaine de l’Université Saint-Joseph, Beyrouth auLiban.
Elle a été journaliste pendant un certain temps avant de s’engager dans le champ de la communication. Elle a également été interprète humanitaire. Installée à Marseille depuis six ans, elle a rejoint l’équipe de l’OPOM fin 2023 en tant que chargée de projets culturels.
Consultante pour l’UNESCO, Yosr bénéficie de solides compétences en matière de gestion de projets culturels. Après avoir suivi une formation en histoire à l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, complétée par un Master en Moyen-Orient Méditerranée à Sciences Po Grenoble, Yosr s’est spécialisée dans les enjeux de développement culturel, notamment dans la région ANMO.
Elle a acquis une expertise significative dans l’accompagnement de projets culturels en travaillant pour diverses institutions telles que la Délégation Interministérielle à la Méditerranée, l’Institut du Monde Arabe ou encore l’Institut Français de Turquie.
Diplômée d’une licence en science politique et en droit, Garance poursuit actuellement ses études en master « Moyen-Orient et Méditerranée » à Science Po Grenoble. Vivant depuis près de deux ans à Beyrouth, au Liban, elle suit ses cours à distance. Son engagement au sein de l’OPOM était une évidence, étant donné ses études et son pays d’adoption.
Au sein de l’équipe, elle occupe le poste de coordinatrice et de rédactrice culturelle pour la rubrique « Tell me about », qui met en lumière chaque mois un pays de la région sous l’angle de son patrimoine, qu’il soit vivant ou culturel. Elle attache une grande importance à contribuer au travail de l’ONG, qui valorise la richesse culturelle de la région MENA.
Zaïm Richard est étudiant en troisième année de licence à l’École du Louvre.
Il est spécialisé en Anthropologie du patrimoine, une discipline qui lui a permis d’acquérir un regard critique et réflexif sur les grands phénomènes culturels du monde contemporain. Riche de ce cursus scolaire exigeant, il cultive également un grand intérêt pour l’archéologie de l’orient ancien et les arts de l’Islam.
Zaïm Richard est membre de l’École du Louvre Junior Conseil (ÉDLJC), la Junior-Entreprise de son école depuis maintenant deux ans. D’abord chargé de prospection en son sein, il en est actuellement le responsable communication et marketing.
Coordinateur de recherche et de projets avec une maîtrise en histoire de l’art islamique et en gestion du patrimoine culturel. Natalie Anne Stuart a grandi en Australie sur des récits romantiques de terres lointaines et «exotiques ». Lorsqu’elle a commencé à voyager en Afrique du Nord au début de la vingtaine, elle a été frappée par les imaginaires de la région produites en Occident. Cela l’a amenée à s’intéresser à travers différentes voies vers la théorie décoloniale et les études critiques du patrimoine afin de comprendre les raisons pour lesquelles les récits qui lui ont été racontés ne reflétaient pas les diverses réalités sur le terrain. Ses intérêts pour la région se sont concentrés sur l’agroécologie, le patrimoine bioculturel, l’alimentation et les opportunités pour un avenir plus résilient, ainsi que sur les magnifiques paysages et la manière dont les architectures se sont nichées autour d’eux. Elle travaille actuellement en tant que coordinateur du Festival du film palestinien en Australie et en tant qu’archiviste et responsable des arts et de la culture pour des organisations locales sur les terres du First Nations Gadigal People of the Eora Nation, également connu sous le nom de Sydney.
Diplômée d’une double-licence d’hébreu moderne et d’arabe littéral, Firdaous Bouhassoun suit actuellement un master 1 de relations internationales à l’INALCO avec une spécialisation sur les questions environnementales. D’une double culture franco-algérienne, elle a nourri depuis son jeune âge une véritable passion pour le patrimoine multiple de la région MENA. En raison de cet intérêt prononcé pour la question de la protection du patrimoine et des divers défis auxquels il fait face, elle a choisi d’intégrer l’OPOM il y a deux ans. Au sein de l’OPOM, elle occupe la place de rédactrice pour la magazine culturel avec d’autres membres de l’équipe.
Sarah Fontaine est historienne de l’art. Elle a étudié à l’Université Rennes 2 et est titulaire d’une double licence en histoire de l’art et en anglais, elle a ensuite poursuivi son parcours avec un master de recherches en histoire de l’art. Sa passion pour le Moyen-Orient l’a conduite à se spécialiser dans les arts de l’Islam et à réaliser son mémoire sur le renouvellement de l’architecture ottomane à Istanbul au XVIIIesiècle.
Berrak Gürsaz est diplômée en relations internationales et Organisation internationale, tout en ayant également une formation en droit International et Européen. Ses expériences de vie à l’étranger en Corée du Sud et en Italie mettent en évidence l’intérêt profond qu’elle a pour les langues, les cultures et la diversité. En tant que néerlando-turc, Berrak est naturellement attirée par le patrimoine culturel et la beauté naturelle de la région du Moyen-Orient. Rejoindre l’OPOM a été une étape significative pour elle, lui permettant de contribuer de manière créative et de satisfaire sa curiosité au sein de l’équipe éditoriale. Elle est passionnée par les histoires qui résonnent avec les enseignements de Jelaluddin Rumi, souvent savourées avec du thé noir turc et un morceau de baklava. Une lecture recommandée par Berrak est « La boussole d’amour » d’Elif Shafak.
Garance Ameline est diplômée en droit et archéologie (Université Panthéon-Sorbonne), en muséologie (School of Oriental and African Studies) et en gestion du patrimoine culturel (Panthéon-Sorbonne). Son intérêt pour l’archéologie du Proche Orient l’a conduite au Département des Antiquités Orientales du Louvre et à la rédaction d’un mémoire sur la photogrammétrie de sites irakiens, libyens et syriens. Après avoir travaillé à l’ICOMOS (International Council on Monuments and Sites), elle a rejoint le Centre du patrimoine mondial de l’UNESCO.
Margaux Flexas est chargée de mission culturelle et coopération à l’Ambassade de France en Arabie saoudite, spécialiste des enjeux patrimoniaux dans les régions Méditerranée, Moyen-Orient. Au cours de sa formation, Margaux Flexas s’est spécialisée sur les questions de diplomatie culturelle à l’international, et tout particulièrement dans les régions Méditerranée, Moyen-Orient, Asie centrale. Margaux Flexas a rejoint l’OPOM en 2022, d’abord dans le pôle Communication et travaille aujourd’hui au sein du pôle Réseau et Mécénat.
Ces cinq dernières années, elle a travaillé sur les enjeux de la diplomatie culturelle et patrimoniale au sein de différentes institutions : Institut français de Jérusalem – antenne de Chateaubriand, Domaine d’O et agence de presse. Enfin, elle a effectué une année au Festival de Cannes en tant qu’assistante au Service des Accréditations Festival. Margaux Flexas a étudié à Sciences Po Lyon et est titulaire d’un master, en management des actions culturelles à l’international.
Mona Abdelaoui est chargée de mission au sein du pôle réseau de l’Observatoire, spécialisée dans les questions liées à la protection du patrimoine culturel en temps de conflits et de crises, et la lutte contre le trafic illicite de biens culturels avec un regard particulier porté sur le monde arabe.
Mona est titulaire d’un double master en relations internationales, période pendant laquelle elle a développé un fort intérêt pour ces questions, avant de rejoindre l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) en tant que responsable de projet associée pour la protection du patrimoine culturel en temps d’urgence.
Depuis 2021, Mona met en œuvre des projets de préparation et de réponses aux urgences affectant le patrimoine culturel au niveau international.
Cassandra Furstos est une archéologue spécialisée dans l’étude du mobilier archéologique en Asie occidentale.
En 2015, elle entame des études d’Archéologie et d’Histoire de l’Art à l’Université de Strasbourg, en se spécialisant dans la Mésopotamie antique, et étudie en parallèle la Muséologie à l’Université de Haute-Alsace. Elle complète ce parcours théorique en effectuant des stages au sein des collections mésopotamiennes au musée du Louvre puis au Vorderasiatisches Museum de Berlin.
Depuis 2019, elle travaille pour la société Archaïos et se rend régulièrement en Arabie saoudite, dans le cadre du projet alUla Cultural Oasis Project (UCOP). Dans ce contexte, elle se spécialise dans l’étude du commerce et de la production d’objets en verre dans la péninsule Arabique à l’époque médiévale et s’intéresse notamment aux échanges commerciaux internes et externes à la péninsule.